L’ÉCONOMIE MONDIALE VA « SECOUER »… DONC LA NÔTRE AUSSI
Dans un contexte aussi tendu, les entreprises ne vont pas se priver de tendre les flux, éliminer le gras… et bien entendu débaucher.
Et vous, au milieu de ça, vous n’aurez pas 50 options, ni même 30, ni même 10. Vous n’en aurez que 2, des options:
J’ai mis un petit check vert au stylo sous celle qui me paraissait être la meilleure pour vous, mais après, vous êtes libre de choisir l’autre…
Bref, si je vous l’apprends je m’en excuse par avance, mais il est désormais à peu près certain que la « crise » (i.e la croissance nulle ou quasi nulle) soit notre paysage culturel jusqu’à la retraite, pour tout un tas de raisons politiques, financières, mais aussi énergétiques et climatiques (écouter les brillantes conférences de Jean-Marc Jeancovici à ce sujet), ce qui en sociologie évolutionniste s’appelle un contexte de forte pression sélective.
En clair : les meilleurs vont s’adapter et survivre, les autres vont crever à plus ou moins petit feu. C’est triste à foutre les larmes aux yeux, mais c’est ainsi. Et c’est pas ma faute, moi aussi je ne peux que m’adapter et transmettre ce que j’ai compris (« le moment est venu de dire ce que… »)
POUR LES NOUVEAUX : QUI EST STÉPHANE EDOUARD
J’oublie parfois (souvent) que des nouveaux découvrent le site tous les jours, et que ma réputation n’est pas encore inter-planétaire, donc pour les nouveaux :
Ingénieur en mécanique (je sais construire un pont, un moteur, des trucs comme ça), mais choqué par l’absence totale de tout intérêt des ingénieurs pour l’humain (disons qu’ils ne s’y intéressent qu’en période de recherche d’accouplement et/ou de beuverie entre amis, les deux événements étant – dans leur tête – amenés à coïncider), j’ai quitté l’univers des matrices de matériaux composites sans regret.
Quittant un monde pour entrer dans un autre, j’ai postulé à Sciences-Po, niveau troisième cycle, en sociologie de l’action organisée où mon insistance ainsi que quelques lettres de recommandation compensèrent un dossier à peine correct (les garnisons d’ingénieurs austères et frustrés m’ayant coupé toute envie de compétition, j’en avais pas foutu un rond).
Passionné par la nouvelle grille de lecture de mes contemporains que fournissaient ces concepts, mais moins par les règles d’épicerie gouvernant les budgets d’un laboratoire de recherche (si ça vous intéresse, demandez-moi, je vous expliquerai que les étudiants servent de main d’oeuvre gratuite aux enseignants-chercheurs, pour leur fournir la matière première de leurs « recherches », qu’ils facturent ensuite aux organisations gouvernementales ou aux entreprises privées en y mettant leur patte, et surtout leur nom et leur RIB), j’ai naïvement sollicité l’autorisation de rédiger mon mémoire de fin d’étude sur un sujet qui me passionnait à titre purement personnel, mais nullement rémunérateur : le mentoring artistique, notamment dans l’univers théâtral.
Puni d’avoir choisi mon petit interêt au détriment des gros sous-sous, on me fit comprendre avec une notation en demi-teinte et une absence quasi totale de soutien pendant les 12 mois de rédaction, qu’il fallait toujours faire passer les intérêts du laboratoire avant les siens propres, ce qui finit de me convaincre de ne pas m’embourber dans une thèse de 4 ou 5 ans où j’aurais fini essoré par ces petits fonctionnaires d’état, toujours en quête de subvention et de trésorerie.
Première grande désillusion de ma vie : les sociologues (les vrais, les sérieux, les chiants) sont aussi tristes et frustrés que les ingénieurs, sauf qu’ils ont remplacé le don inné de la logique par celui de l’idéo-logie et du blabla sentencieux.
Contraint de gagner ma vie et de me loger par absence de tout excédent de patrimoine parental, je suis devenu sondeur chez Sofres puis consultant en dépit d’un contexte de crise (déjà) lié aux suites de l’affaire du 11 septembre. Dans le métro, dans le bus, dans les taxis, à la pause déjeuner, à la pause café, et parfois même au bureau en cachette, je lisais compulsivement tout ce qui pouvait me tomber sous la main en matière de psycho-sociologie et de stratégies comportementales. Chercheur, et surtout observateur, semi-autodidacte, je n’ai cessé depuis de décortiquer et d’expliquer la logique cachée des émotions humaines, que ce soit dans des contextes professionnels, amicaux ou amoureux. Les gens sont parfois brillants, souvent décevants, mais toujours logiques, quand on réfléchit suffisamment longtemps.
Aujourd’hui, je vous propose d’acheter, par petits bouts, ces années de réflexion sur les stratégies comportementales des hommes et des femmes, pour mieux en tirer votre épingle du jeu, tout en vous distrayant et en apprenant des choses qui vous seront utiles tous les jours.
QUELQUES EXEMPLES DES CONCEPTS ET MÉTHODES INEDITS (« C’EST MOI QUI L’AI FAIT ») QUE VOUS DÉCOUVRIREZ AU COURS DE CETTE JOURNÉE
La technique du bélier « force de proposition »
La technique dite de « la pizza »
Le bouche à oreille à géométrie variable
Et bien d’autres !
CE QUE VA VOUS (R)APPORTER CETTE JOURNÉE CONCRÈTEMENT
- des conseils clairs et simples, immédiatement applicables sur le terrain
- détecter et corriger les erreurs que vous commettiez quotidiennement dans vos relations de travail sans y penser
- une hiérarchie qui vous écoutera et vous respectera plus
- un poste mieux payé
- obtenir des augmentations plus souvent que les autres
- plus de responsabilités et des attentes plus élevées de l’employeur (ça va ensemble)
- sans rogner sur votre vie familiale et vos loisirs
- mettre toutes les chances de votre côté pour survivre aux probables prochaines réorganisations
- être toujours informé en premier des changements importants
- devenir un point de référence pour vos boss, ils auront peur de vous perdre !
Bonus
- mes derniers updates productivité
- des anecdotes vécues par mes milliers de clients dans leur univers professionnel, décodées pour vous
- des anecdotes tirées de mes relations de travail (ce que les gens font de bien, de très bien… et aussi de très mal lorsqu’ils bossent avec moi, et ça m’exaspère)
POURQUOI AJOUTER CE SÉMINAIRE À VOTRE COLLECTION
- Parce que vous n’avez pas le temps de réfléchir autant que moi aux relations interpersonnelles. C’est normal. Vous avez un job. Et ce n’est pas autant votre passion.
- Parce que je fais un gros effort (invisible) pour vous restituer les choses de façon extrêmement claires et simples
- Parce que simple ne veut pas dire simplificateur, je ne simplifie pas, ce n’est pas du coaching « à l’américaine » visant à se regonfler le moral tout seul, in asbtracto, pour se sentir mieux temporairement
- Parce que vous n’allez trouver ces informations nulle part ailleurs (ou bien si, en lisant et en réfléchissant une petite dizaine d’années sur ces sujets, vous avez le temps ?)
- Parce que les gens qui réussissent sont ceux qui savent se former et investir sur eux
- Parce que les prix à la demi-journée pour les particuliers sont tout à fait raisonnables: quand j’interviens en entreprise ou à la TV, la facture se montre à 5 chiffres. Et je pourrais même le faire ici, en adoptant certaines techniques de marketing vulgaires à l’américaine, ce à quoi je me suis toujours refusé…
Crédit photo: TORLEY
Basé sur 231 avis
Publié le 01/09/2024 à 6:21 pm (Date de commande : Le 11/08/2024 à 2:40 pm)
Ce séminaire a été particulièrement enrichissant et inspirant. J’y ai découvert des stratégies et des concepts que je considère désormais comme essentiels pour exceller dans ma carrière. Les sujets abordés étaient présentés de manière claire et concrète, avec des exemples pertinents qui facilitaient la compréhension. La pédagogie de l’intervenant a rendu le contenu accessible tout en encourageant une réflexion approfondie sur les meilleures pratiques à adopter pour se démarquer dans son environnement professionnel. Ce séminaire m’a véritablement donné les clés pour devenir un atout indispensable dans mon entreprise.
Publié le 22/08/2024 à 6:05 pm (Date de commande : Le 26/02/2023 à 12:53 pm)
Séminaire qui permet de décrypter le monde opaque de l’entreprise et d’avoir l’envers du décor sur ce qui rend vraiment INDISPENSABLE au travail.
Publié le 16/08/2024 à 6:08 pm (Date de commande : Le 29/05/2024 à 10:59 am)
De très bons conseils distillés avec soin et pertinence. La différence entre un mode de pensée ‘salarié’ vs ‘associé’ est très bien expliquée et fait office d’excellent fil conducteur pour l’ensemble de ce séminaire. Encore bravo et merci à Stéphane pour ce contenu.
Publié le 01/08/2024 à 4:41 pm (Date de commande : Le 03/07/2024 à 5:07 am)
un petit séminaire plein d’un bon sens qu’on oubli parfois! encore trente trois lettres pour débloquer la fiche… !
Publié le 31/07/2024 à 4:07 pm (Date de commande : Le 28/07/2020 à 6:47 am)
Un séminaire très intéressant. En particulier des conseils très utiles pour faire une bonne impression dès le début.
Publié le 14/07/2024 à 1:02 pm (Date de commande : Le 07/07/2024 à 2:43 pm)
Le séminaire vous propose une description, pragmatique et sensible, d’une dichotomie entre associé et salarié. Il faut comprendre que pour être apprécié il ne faut pas simplement être impliqué mais incarner le job comme son chef, avec un salaire de N-1. Le séminaire se veut tout de même présenter la mentalité pour ne pas rester un N-1 classique, mais se sentir d’abord et devenir ensuite indispensable. Séminaire toujours à jour, plus de 8 ans après l’enregistrement.