Vous écrivez, dessinez, jouez de la musique ou bien nourrissez tout autre projet littéraire ou artistique ? Ne laissez pas votre chance pourrir au fond d’un tiroir ou d’un disque dur : apprenez à séduire un éditeur, un producteur, ou toute autre personne dressée sur la route qui vous sépare du succès et de la notoriété.
– Important : cet atelier n’a aucun rapport avec le livre du même nom, écrit par Steven Pressfield, et n’en reprend pas les concepts –
ON VOUS A DIT ET RÉPÉTÉ QUE…
- que sans piston, point de salut
- que les auteurs (remplacer par : dessinateurs, musiciens, etc.) avaient tous des parents dans la partie
- que ceux-ci, ou d’autres bienfaiteurs, leur avaient ouvert les portes, ou en tous cas grandement facilité le travail
- que les éditeurs (remplacer par : producteurs, etc.) recevaient tant de demandes que la vôtre allait se noyer et disparaitre comme une pierre dans l’eau
- qu’il fallait attendre un «coup de chance» ou un signe du destin
- qu’il fallait être prêt à vendre votre projet en 3 minutes à un inconnu croisé dans l’avion ou dans l’ascenseur (le fameux «elevator speech» anglo-saxon)
- que si jamais le miracle se produisait et que quelqu’un m’acceptait, mon texte serait de toutes façons si modifié et formaté qu’il en serait presque réécrit
- et j’en passe et des meilleures…
Tout ceci est vrai… sauf que
Sauf que c’est faux.
Et j’en suis la preuve vivante.
Je suis passé par les mêmes doutes et les mêmes appréhensions que vous avec mon projet littéraire (si vous ne voyez pas de quoi il s’agit, direction Amazon. Pour information, le livre a été n°3 des ventes toutes catégories confondues le jour de sa sortie, devant Nicolas Sarkozy, Le pape et Stephen King, et en rupture de stock moins de 24h plus tard).
Le tout sans aucun piston et sans avoir été introduit aux règles et conventions en vigueur dans le métier de l’édition. Mais mon instinct (ainsi bien sûr que l’expérience tirée de l’atelier dream-job) m’a dicté de ne pas inonder Paris de mon manuscrit en l’envoyant à toutes les portes, mais de mettre au point une méthode et de m’y tenir coûte que coûte jusqu’à obtention de résultats.
LES RÉSULTATS
J’ai proposé mon projet à 5 maisons d’édition (seulement) et obtenu 3 «oui» en moins de 4 semaines (Flammarion ayant répondu en moins de 48 heures). A l’heure de la négociation du contrat, j’ai négocié des droits d’auteur supérieur à ceux généralement consentis à un premier auteur, dans une mesure allant jusqu’à +50%. Et j’en passe.
Encore une fois, ces chiffres ne sont pas des chimères sans réalité crées de toutes pièces pour faire rêver le distrait, façon grosmarketingbienlourd.fr. Vous avez le résultat devant les yeux : à 32 ans, à partir de rien et sans aucune aide extérieure, j’ai publié chez un acteur majeur de l’édition, à des conditions avantageuses, et – important – sans que mon texte soit modifié ou dénaturé d’aucune façon.
Bien entendu, à la poursuite de ce résultats, rien n’a été laissé au hasard, et c’est la méthode m’ayant permis d’y arriver que je veux maintenant vous transmettre.
Ressources nécessaires :
- une ébauche de projet littéraire ou artistique (écriture de manuscrit, écriture de scénario, dessin, vidéo, etc.) ou à défaut une idée relativement précise de ce que vous voulez réaliser
- un ordinateur relié à Internet
- une imprimante et un appareil photo
Mais obtenir un contrat n’est pas tout
Parce que la gestion de la relation avec l’éditeur (ou le producteur, ou etc.) sera une expérience nouvelle pour vous comme elle l’a été pour moi, bénéficiez de mon retour d’expérience et de mon suivi pour :
- vous faire respecter (pas facile quand vous avez tout à prouver, croyez-moi)
- mieux gérer votre stress en sachant à l’avance ce qui est implicitement attendu de vous
- discerner ce sur quoi vous ne devez pas lâcher (et ainsi être plus cool sur le reste)
War of Art : une méthode imparable pour se faire éditer