Il pleut 182 jours par an à Abbeville.
123 à Montélimar.
Et 87 à Toulon.
What the fuck ?
Parce qu’un climat, dans le cas précis de cet exemple, s’objective d’abord au nombre de jours de pluie annuels.
Dans ces conditions, comment objectiver, sinon le bonheur, du moins le plaisir ? Je propose de le faire au nombre de sourires. Ça vous fait rire ? Il n’y a pas de quoi. Avec quoi d’autre l’objectiver ?
Avec ma nouvelle échelle de mesure, j’obtiens donc une intéressante carte de France (voire du monde) où les concentrations de gens qui tirent le plus la tronche se superposent curieusement avec les zones d’intense travail salarié.
SÉDUIRE = ABSENCE DE VALIDATION…
…OR SALARIAT = VALIDATION HIÉRARCHIQUE PERMANENTE
Et même sans aller extrapoler très loin : je sais pas vous, mais moi j’ai donné, le lever à 6h45, le départ de la maison à 7h35 et le retour à 19h30-20h (les bons jours) et 20h30-22h (les mauvais).
Hé ho, ouvrez les yeux : le salariat c’est la corvéabilité & l’attente de validation des objectifs par la hierarchie VS la séduction c’est la liberté & l’absence de validation. Dans ces conditions…
…comment sortir de la tour de la contradiction infernale ?
Réponse : en regardant l’échiquier avec une paire de lunettes différente. Inédite. Sociologique. Provocatrice. Politiquement incorrecte.
CE QU’EST SURVIVRE À L’ENFER DU SALARIAT
Survivre à l’enfer du salariat, c’est :
- une définition exhaustive des relations interpersonnelles dans le monde du travail, classées par ordre d’importance
- une lecture inédite de ces relations, vues sous la double lunette sociologique du pouvoir et de la séduction
- différents niveaux de tactiques (surprenantes / déstabilisantes / osées / kamikazes, etc.) pour trouver votre liberté dans les contraintes du salariat et retrouver la capacité à être sexué, être séduisant, etc.
Pourquoi ne pas tout simplement dire Fuck au salariat ? Après tout c’est la mode…
C’est peut-être la mode, mais ce n’est pas pour autant la vérité ! La mode peut se tromper, elle l’a déjà souvent montré.
Aussi tentant que cela puisse paraître, en tant qu’entrepreneur, d’inciter le monde entier à le devenir avec soi, ce n’est tout simplement pas possible : ni économiquement, ni sociologiquement, ni politiquement.
Comme nous le verrons dans un nouveau programme d’accompagnement destiné à vous aider à vivre de votre passion, la passion crée la compétence mais toutes les compétences ne sont pas monétisables ! Aussi pour cette première et simple raison, il est extrêmement dangereux d’influencer tout le monde, sans discernement, à « voler de ses propres ailes » sans matelas ni harnais. Cela peut-même, dans des cas border-line, conduire à la faillite, à la dépression, voire pire (un de mes proches, à la poursuite d’un dream-job dont je lui avais pourtant dit qu’il était inatteignable, s’est défenestré).
Je répète, donc : il est très dangereux d’inciter tout le monde sans discernement à quitter la « sécurité » d’une « structure » pour l’extrême vulnérabilité que confère la liberté. C’est irresponsable, malhonnête et même très con.
Tout le monde ne peut pas être entrepreneur
Et puis, même à l’échelle individuelle : tout le monde n’a juste pas envie d’être entrepreneur. Tout le monde n’est pas fait pour ça. Ou bien n’est pas encore prêt pour ça. Pour toutes ces raisons et bien d’autres encore, très rares (bien moins de 10 %) sont ceux d’entre vous qui échapperont au salariat toute leur vie durant, fut-il provisoire.
Et le salariat, aujourd’hui, c’est ça :
(Le Figaro)
(La Tribune)
(Capital)
OÙ, AILLEURS QU’ICI, TROUVER UNE RÉPONSE À L’ENFER DU SALARIAT ?
Ces bases étant posées, la question couperet tombe du même coup : où allez-vous prendre le « kit de survie » dans le monde du salariat, les règles des coups bas, des trahisons, des réputations, des usurpations de qualité, ce qu’il est interdit de répéter, voire de penser tant c’est immoral et la prime à la ruse et la rouerie, plutôt qu’au travail et l’intégrité.
Si vous vous estimez un tant soi peu intègre, compétent et travailleur, alors vous avez un urgent besoin de ce bootcamp survivre au salariat car ces qualités, vos qualités, ne vous seront d’aucune utilité dans cet univers bien précis. Voire, elles vous desserviront, à vous rendre corvéable et manipulable à merci…
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La vérité et la pertinence des analyses de Stéphane depuis près de 20 ans
- Choix de sujets considérés comme tabous
- Relecture du problème avec la « paire de lunettes » de la sociologie des organisations (plus d’informations ici, pour les curieux : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sociologie_des_organisations)
- Ajout, sur ce corpus théorique, d’une « couche » d’observation fine des dynamiques sociales telles qu’elles sont dans la réalité (et non comme on voudrait qu’elles soient, ce qui est toujours différent, et certains sont dans l’impossibilité cognitive de discerner les deux. Les femmes, par exemple.)
- Décodage inédit de situations déjà vécues (si vous en voulez de bons exemples, voir séminaires : les secrets du charisme, se faire respecter, langage des femmes, etc.)
- Ce qui provoque généralement chez vous la désormais fameuse… gifle de la leçon de réalisme.
… appliquées au monde du travail
Vous n’imaginez généralement pas le niveau d’intrigue, d’amoralité, de manipulation et d’exploitation sans vergogne des uns par les autres qui règne dans une entreprise, qu’elle soit privée ou publique (pitié, pas de manichéisme simpliste façon « les requins dans le privé / les anges dans le public » ou encore « pillule rouge / pillule bleue »)
Surtout une société tertiaire, où le règlement des différents aux poings dans l’arrière-cour est interdit (entre ouvriers, on réunissait tout le monde dans la cour ou autre pièce fermée, on s’en collait deux ou trois dans les dents à l’abri du regard du contre-maître, les plus forts physiquement gagnaient et le problème était réglé pour un bout de temps. Méthode de management qui, appliquée aujourd’hui dans une entreprise de cadres en-costumés
, va se terminer par un licenciement sans indemnités pour faute grave, une plainte avec garde à vue au commissariat de police, et une condamnation au tribunal de proximité avec inscription à votre casier judiciaire ?)
Il vous faut devenir « dur » au travail
S’il y a bien un secteur où c’est presque toujours le plus « dur » (méchant) qui gagne, c’est celui du travail salarié.
Dans ce véritable bootcamp – il est très rare que j’emploie ce mot, mais là c’est parfaitement justifié -, je vais vous préparer, vous rendre déterminés, vous endurcir pour traverser cet enfer qu’est le « tunnel du salariat », et que vous en sortiez mieux qu’intacts : en vainqueurs !
Crédits photo: Thomas Hawk, The US Army, Le Figaro & Eric Fischer
Basé sur 240 avis
Publié le 02/09/2024 à 12:49 am (Date de commande : Le 25/08/2024 à 8:16 pm)
Excellent séminaire ! Permet de comprendre dans quelle type d’entreprise l’on se trouve et d’adopter les meilleures attitudes afin de s’y intégrer efficacement et au final de progresser. Un must have pour tout salarié
Publié le 22/08/2024 à 3:57 pm (Date de commande : Le 09/08/2024 à 1:46 pm)
Comme d’hab, je prends un séminaire parce que je rencontre une situation compliquée. Contrairement aux séminaires sur les relations amoureuses, je suis déçu de ne pas avoir eu plus de conseils pour me sortir de l’emprise (et ses synonymes) d’une cheffe. A part partir, y a pas trop de solution.
Publié le 16/08/2024 à 3:10 pm (Date de commande : Le 16/04/2024 à 12:07 pm)
Un des séminaires les plus importants, qui change notre rapport au monde et qui est indispensable à l’évitement de grosses déceptions !
Publié le 31/07/2024 à 4:37 pm (Date de commande : Le 25/02/2021 à 8:13 am)
Un bonheur je ne suis plus salarié depuis longtemps. J’ai pris ce séminaire dans le cadre de mon abonnement VIP. La qualité est toujours au rendez-vous.
Publié le 24/07/2024 à 4:59 pm (Date de commande : Le 09/07/2024 à 4:25 pm)
Séminaire qui m’a offert d’utiles clés pour lire ma situation. Parce que sinon, ce qu’on pense être une solution…
Publié le 23/07/2024 à 11:12 pm (Date de commande : Le 12/06/2024 à 7:39 pm)
Très bon résumé A recommander à toute personne en début de carrière. Des conseils pratiques et une invitation à faire le bien tout en devenant meilleur. Il y comme toujours cet effet apaisant dont Stéphane a le secret.